Vous aviez vu plusieurs cliniques, ou juste celle-ci ?
Non, par l’intermédiaire de deux amis, qui m’ont dit que du bien du docteur Suba, donc je suis venue, et je me suis trouvée en confiance et du coup j’ai dit qu’on allait faire les travaux. Je n’étais venue que pour le haut. Mais j’avais des infections en bas, donc le docteur Suba m’a proposé d’enlever aussi les dents en bas qui étaient mauvaises. Donc, j’ai tout fait d’un seul coup. Et je suis revenue 5 mois après pour faire les implants.
Donc, première étape, les extractions, pose d’appareil provisoire amovible ?
Oui, les provisoires qui ont duré, je ne sais plus, parce que ça va faire presque un an déjà. Ensuite, les implants, j’en ai huit.
4 en haut, 4 en bas.
Oui, et attendre que ça se cicatrise, donc je suis revenue au mois de décembre.
Donc un projet qui s’est déroulé sur une bonne année ?
Presque un an, oui. Exactement, ça va faire onze mois.
Vous avez bien pris le temps pour la cicatrisation.
Oui, pour que ça se cicatrise, donc maintenant, c’est fini. Mais c’est une nouvelle étape, pour parler.
Pour s’adapter, oui, parce que là, il vient vraiment de poser l’appareil clipsé sur implant (lien vers la vidéo montrant le travail du dentiste).
Une heure, ça fait un peu juste pour que ma bouche s’empreigne.
Justement, c’est parce qu’on essaie de parler. Comme toutes les vidéos sont toujours toutes très positives, on essaie aussi un peu de montrer la réalité. Il n’y a aucune inquiétude. C’est pareil pour tout le monde et normal, quand on a douze nouvelles dents en haut et en bas, que ça fasse un changement et qu’il faille une adaptation. Un jour, comme j’expliquais, quand j’ai eu une couronne, juste une seule, on a l’impression d’avoir un noyau de cerise coincé dans la bouche. Le lendemain, c’est rentré dans l’ordre.
Demain, déjà, j’ai rendez-vous, avant de partir.
Refaire encore un contrôle ?
Voilà, et j’espère que tout ira bien.
Les extractions, il vous avait fait une anesthésie par sédation, c’est-à-dire, vous dormiez pendant la chirurgie ?
Non, il m’avait fait en local
Ça a été douloureux, dur ?
Non, ce n’était pas douloureux pendant, mais après, quand même, on a peu mal et on saigne. Donc, après, un petit peu, oui, mais c’est supportable.
Vous vous attendiez à pire ? Comme les gens ont généralement assez peur des extractions.
Non, je ne suis pas une pleureuse. Les piqûres ne me gênent pas.
Et l’implantation, ça s’est passé comment ? Car en général, les extractions ont plus de suites opératoires que l’implantation.
L’implantation s’est bien passée aussi. Bon, c’est vrai qu’on est un peu groggy, dans les vapes.
Oui, on passe quand même pas mal de temps sur le fauteuil.
C’est un peu long. Mais autrement, ça s’est bien passé aussi. Je n’ai jamais eu de problème avec les implants. Ça s’est bien cicatrisé de suite. L’os s’est bien reformé.
Donc, aucun problème dans le parcours. Sinon, vous avez rencontré des gens, sur place, qui faisaient également des soins ?
Oui, un couple, la dernière fois, au mois de juin.
Ils étaient contents aussi ?
Oui, mais eux revenaient au mois de septembre, alors que pour moi, c’était un peu court, il fallait attendre le mois de décembre. Ça dépend, je pense, de l’os que l’on a, des implants que l’on fait et du faciès aussi. Parce que j’ai une petite tête. Certains ont une tête plus large. Ça vient de là, que l’on ait des os plus fins ici ou là. Autrement, au niveau du traitement, je voudrais dire que c’était bien, mais pas le plus agréable, ce n’est pas le Club Med non plus. C’est supportable, pour un final qui, je pense, est agréable pour la suite.
D’accord. Vous connaissiez Budapest ?
Oui, j’y étais déjà venue.
Donc, pas de surprise, cette fois-ci ?
Je préférais cette fois-ci, par rapport à il y a douze ans. Je n’avais pas aimé Budapest.
Ça a changé ?
Ça a énormément changé. Maintenant, c’est une ville vraiment européenne.
Beaucoup de travaux au niveau des infrastructures.
Non, pas seulement, c’était surtout un ressenti très profond de communisme que j’avais mal supporté il y a douze ans. Maintenant, je trouve que c’est une ville très agréable, très jolie. Les gens sont plus européens, moins renfermés qu’il y a douze ans. C’est un ville qui monte.
Oui, le tourisme s’y est énormément développé.
Oui, une très belle ville, des beaux bâtiments, de belles avenues.
Il y a de quoi s’occuper, donc ?
Oui, j’étais même à l’extérieur de Budapest. Mais quand je suis venue la première fois, je n’avais pas aimé.
C’est bien, comme cela, vous êtes réconciliée ?
Oui, parce que j’ai fait venir des amis, je leur en avais parlé que c’était bien et ils sont venus visiter.
Du bouche à oreille, donc.
Voilà, exactement.
Merci de nous avoir accordé ce moment et je vous souhaite une bonne continuation, une bonne adaptation. N’hésitez pas à nous faire un retour, sur comment ça se passe dans les quinze jours, deux mois.
Oui, je le dirai au docteur Suba.
Merci, au revoir.